Cons in fine ?

Le confinement actuel donne beaucoup de temps libre, dont celui nécessaire pour lire les dernières publications sur le réchauffement climatique. Un article dans Foreign Affairs notamment analyse la « dette climatique » des pays développés vis-à-vis du reste du monde.

« L’histoire du changement climatique est celle de l’aggravation de l’injustice » affirme l’auteur, car « la prospérité des pays occidentaux a été construite sur l’exploitation des richesses et ressources naturelles. »

Avez-vous payé votre taxe carbone et prié Gaïa pour vous excuser d’être des occidentaux privilégiés vivant dans le confort ?

Les journalistes qui relaient ces éléments de langage et effraient la population font montre d’une malhonnêteté sans limite. Leur malhonnêteté est mise en évidence par les innombrables preuves qui montrent que la théorie du changement climatique est une pure intox qui fut conçue par les Soviétiques comme un moyen de détruire la base industrielle de l’Occident capitaliste.

Vous n’êtes pas obligés de me croire.

Burning

Communisme toujours en action, la Chine a juste pris la suite de l’URSS.

Natalie Grant Wraga

Quand Natalie Grant Wraga est morte en 2002, à l’âge de 101 ans, elle fut saluée par le Los Angeles Times comme une des plus grandes expertes de la désinformation soviétique, reconnue dans le monde entier.

  • The Washington Post écrivit d’elle « Ce qui a distingué Mme Wraga en tant que soviétologue est son expérience de la Russie tsariste et de l’URSS », ajoutant qu’elle était un « atout riche et rare pour la communauté américaine du renseignement » et « une experte des méthodes de désinformation soviétiques au sein du Département d’Etat. »
  • The Economist rebondit : « Elle était peut-être la seule personne vivante à l’Ouest qui pouvait revendiquer une connaissance si intime de la pensée politique russe. »

Wraga avait déclaré : « Beaucoup de gens étudient le passé, mais très peu étudient le présent. Gardez vos yeux ouverts et vos oreilles ouvertes. »

Un excellent conseil.

Natalie

Natalie Grant Wraga

Mutation du communisme

À la fin du XXème siècle, Wraga (qui écrivait dorénavant sous le nom de Natalie Grant) a décrit l’écologisme promu par les Nations unies comme une mutation du communisme, lequel devait se reconditionner après son échec pendant la Guerre Froide. L’idée selon laquelle la planète souffrait de l’activité humaine et qu’il était possible de la sauver au moyen de la planification et du rationnement des ressources (connu sous le nom de « développement durable ») est, écrit-elle, une des plus grandes tromperies soviétiques. Son objectif est de saper la cause de la liberté dans le monde.

Dans un article publié en 1998, « La Croix verte internationale : Gorbatchev et l’enviro-communisme », Grant explique précisément comment la campagne de désinformation soviétique utilisant le climat comme moyen d’action fut lancée de concert par Mikhaïl Gorbatchev, le dernier président de l’URSS, et les organisations internationales dans le cadre d’une « croisade verte. »

Grant y écrit : « La protection de l’environnement pourra être utilisée comme prétexte pour adopter une série de mesures visant à saper la base industrielle des pays développés. Elle peut également servir à introduire un malaise moral en abaissant leur niveau de vie et en implantant des valeurs communistes. »

La cible de cette campagne était « l’Occident industrialisé » (hem… à l’époque), poussé à la soumission, par « les sympathisants écologistes dans les domaines scientifiques universitaires et médiatiques ».

Natalie Grant avait annoncé comment cette campagne s’organiserait : « Les faits réels sont exagérés à l’extrême avec l’intention de terrifier les citoyens ordinaires, tandis que des preuves douteuses sont présentées comme des faits scientifiquement prouvés ». Difficile de ne pas penser au GIEC et à ses innombrables scandales, mensongesfausses annonces et manipulations diverses, le tout saupoudré de 50 ans de prédictions éco-apocalyptiques dont aucune ne s’est jamais réalisée.

Libéralisme

Alors comme ça, les USA seraient un pays libéral ?

Exploiteur de planète

En résumé, pour que le communisme triomphe, le capitalisme ne doit plus être décrit comme l’exploitation de l’homme par l’homme comme c’était le cas dans l’ancienne théorie marxiste. Le capitalisme exploite maintenant la planète. Le but même de ce dogme était de jeter le discrédit sur le système de libre entreprise, le seul qui s’est avéré capable de répondre aux besoins croissants de populations en constant essor.

Ce projet de redistribution de la richesse occidentale vers les pays pauvres a été reconnu de manière très claire par Ottmar Edenhofer, fonctionnaire du GIEC lors d’une interview accordée au Neue Zürcher Zeitung :

« Il faut le dire clairement : nous utilisons la politique du climat pour redistribuer la richesse mondiale. (…) Cela n’a presque rien à voir avec une politique environnementale. »

Et la traduction politique de ce projet a été l’Accord de Paris sur le climat, signé en 2015, qui rassemble la quasi-totalité des pays du monde.

Il faut savoir que les pays occidentaux polluent de moins en moins (comme dans le cas des Etats-Unis) et rejettent dans de nombreux cas une part insignifiante du CO2 émis (dans le cas de la France, il s’agit de 0.9%, dans le cas de l’Italie, 1%, pour le Royaume-Uni, 1,1%…).

Et pourtant, l’accord en question nous contraint à verser 100 milliards de dollars par an aux « pays en voie de développement » (dont la Chine, la Russie et l’Inde, oui oui oui) pour, soi-disant, les aider à financer la transition énergétique. Ces pays sont dispensés d’efforts contraignants, alors que beaucoup figurent parmi les premiers pollueurs mondiaux. La Chine continue ainsi à ouvrir des centrales d’extraction de charbon, alors que le pays est, de très loin, le premier émetteur de CO2 dans le monde.

En d’autres termes, l’Occident voit son activité économique bridée par des réglementations économiques et écologiques lourdes et contraignantes et doit de surcroît verser des sommes colossales aux pays en voie de développement, dont beaucoup sont des régimes totalitaires ou dictatoriaux.

Cela porte un nom : la redistribution. C’est le socialisme mondial, ou communisme mondial.

« Il faut bien reconnaître cela aux Soviétiques : personne n’a réussi aussi bien qu’eux à manipuler l’opinion publique occidentale. » — Natalie Grant

 

Hugo Bellandi