Collectiviste individualiste ?

Les collectivistes sont tous ces gens, de droite comme de gauche (mais surtout de gauche) qui prétendent que le collectif est tellement supérieur à l’individu qu’il faut l’ériger en dogme indiscutable, « l’oignon faisant la farce » comme le dit le proverbe bien connu.

Nous allons voir que ces individus sont non seulement des pleutres, des lâches, mais de plus des toxiques… Suivez le guide (mais pas le leader).

Andouilles

Rue Pavée d’Andouilles (Saint-Gengoux-le-National).

Ainsi, le collectiviste prétend que l’on ne peut faire confiance en nos congénères. Je vous avoue sans peine que, jusque là, j’arrive à suivre. Par conséquent, notre collectiviste prétend que nous avons besoin de règles, de lois et de normes pour ajuster notre société. Jusque là aussi, je ne suis pas contre.

En revanche, il affirme que, du coup, un État serait nécessaire pour faire la police, la justice et autres broutilles (vous me direz qu’en France, quand on voit la taille des « broutilles », il y a de quoi s’inquiéter…). Et donc, via la sacro-sainte démocratie et le vote, notre collectiviste est prêt à confier la direction de cet Etat… à un individu.

Vous, je sais pas, mais moi j’y vois là comme un début de pathologie mentale.

Et cette névrose caractéristique ne fait que se confirmer quand on pousse notre gauchiste (plus ou moins assumé) dans ses retranchements. On réalise bien évidemment que, comme chacun d’entre nous, notre zigomar a des goûts, fait des choix qui lui sont (fort heureusement) personnels.

Moi aussi, mais toi d’abord

Mais, et c’est là qu’il y a une (grosse) couille, de par son vote, il va prétendre finalement souhaiter imposer à tous les autres ses petites lubies.

Et, croyez-moi, j’ai autant de lubies que lui ou elle… En revanche, à la différence du pataquès sur pattes, considérant à juste titre que mes lubies ne sont pas celles des autres, je m’interdis toute considération de type égocentrique puisque justement je ne vote pas.

Notre ahuri n’a ni honte, ni peur de clamer en « société » (par exemple) : « Ah mais moi, je fume pas de shit, donc ça ne me dérange pas que ce soit interdit ». Ou encore : « Oui ben moi, je pense que les bénéfices d’une entreprise doivent être redistribués entre ses employés ».

Kisslapete

Rue Kisslapete. Île d’Oléron.

On le voit, cet abruti congénital confond ses petites (toutes petites…) idées avec la réalité qui fait que, eh bien, certains aiment fumer du shit tranquillement, ou bien que d’autres, en plaçant une partie du fruit de leur travail sur des comptes-épargne, sont partisans de la redistribution d’au moins une partie des bénéfices de certaines entreprises à des actionnaires. Il est d’ailleurs fréquent de constater que ce même abruti a aussi un compte-épargne, ne faisant que confirmer sa lourde pathologie mentale.

Mais le dégénéré ne s’arrête pas là, il clame haut et fort sa « solidarité », son « altruisme », son « souci des malheureux » (trois notions que, dans sa vie privée, il ignore superbement) et dénonce « l’égoïsme », le « capitalisme » ou encore « l’obsession du pognon » qui sont dans les faits sa marque de fabrique, nonobstant les définitions forcément floues de tout ce qu’il dénonce dans l’énorme ratatouille qui bout dans sa calebasse, son haricot étant tiraillé par ses propres contradictions – qu’il attribue aux « autres », bien évidemment, dans une fuite effrénée devant sa lourde pathologie.

Castrat fiotte

Par conséquent, on vient de le voir, le gauchiste, l’étatiste sont des lâches, des pleutres, des idiots utiles, de la chair à canon idéale pour le politocard.

Cascouille

Impasse de la Cascouille. Auch, Gers.

Il est plus ou moins conscient de ses déficiences, mais il ne peut ni ne veut l’admettre et donc reproche aux autres ce qu’il est en fait lui-même, enfermé dans un tel égocentrisme qu’il est incapable d’imaginer que d’autres individus lui soient supérieurs, tant en capacités qu’en force ou cohérence, développant chez notre mou du bulbe une jalousie et une envie maladives.

Mais, du moins le croit-il, l’État va se charger, non pas de le rendre plus intelligent, mais de castrer celles et ceux qui le dépassent, derrière évidemment un égalitarisme bien pratique dans lequel il se vautre sans complexes.

Sombres taches. Comme je le disais au tout début, vous êtes des pleutres, des lâches et en plus vous êtes toxiques. Alors ne venez pas me faire suer, ou il vous en cuira.

Dont Acte.

 

LibRamone