« Je conçois le principe du libre-échange comme moralement aussi fondamental que l’est en physique la loi de la gravitation. Le libre-échange réunit l’humanité, écarte tout antagonisme de race, de credo et de langue, il est la condition d’une paix éternelle entre les hommes. Je crois que le libre-échange aura pour effet de changer la face du monde dans la mesure où les systèmes de gouvernement que nous connaissons en seront bouleversés. Je crois que la volonté de construire des super États, des armées gigantesques va disparaître alors que l’humanité ne deviendra qu’une seule famille dont chaque individu pourra librement échanger les fruits de son travail avec ses frères humains. » — Richard Cobden

Richard Cobden avait raison et sa croyance pourrait très bien se vérifier comme vraie. Allons-y, vérifions !

Le libre-échange permet aux êtres humains de jouir durablement d’une plus grande concurrence pour satisfaire leurs besoins au moindre coût, tout en prenant soin de leur environnement.

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Richard Cobden, champion du libre échange, inspirateur de Bastiat.

Par le jeu des avantages mutuels, le libre-échange entraîne spontanément une meilleure spécialisation des entreprises et accroît la productivité de chacun. Le libre-échange favorise donc la production matérielle et immatérielle globale de richesses et surtout la réduction de la pauvreté. C’est attesté depuis le début des temps dans les sociétés qui adoptent une plus grande ouverture vis-à-vis du commerce.

Le commerce entre les Hommes n’est pas nouveau, il est le cœur battant de toutes nos façons de réaliser des économies de biens rares, nécessaires à la vie. Pour preuve qu’il n’est pas nouveau, je vous invite à remonter dans le temps.

L’économie des maux

L’économie est un mot composé de éco et nomie, dérivé du grec ancien oïkonomia, oïko voulant dire maison et nomia de nomos voulant dire gérer. Il semblerait que le mot apparaisse pour la première fois dans un texte de Xénophon vers 370 avant JC. Et occasionna de vives critiques de la part d’Aritoste et ses disciples !

C’est d’ailleurs assez drôle, puisque leurs querelles idéologiques ressemblent à s’y méprendre, à celles d’aujourd’hui entre capitalistes et anti-capitalistes, marxistes et libéraux.

Depuis et croyant sortir de ces querelles intempestives, des Hommes ont imaginé faire une science politique de l’économie, en procédant comme pour une magie hors des réalités. Une tribu de « créationnistes » prétend exercer une discipline qui étudie les mécanismes des échanges des biens rares, pour assurer indéfiniment de la matière essentielle à tous également répartie. Cette idéologie est un vœux pieu et irréaliste, les querelles d’antan n’ont pas pris une ride.

Comme si les biens rares n’étaient jamais en pénurie, qu’il suffisait d’appliquer une politique dite scientifique, chère à ses experts, pour que les biens rares soudain leur abondent, prétendant alors les redistribuer parcimonieusement à tous. Cette pseudo science d’experts en économie, pour anoblir la politique, crée un climat perpétuellement conflictuel de pénurie.

La réalité est que, si les biens sont effectivement rares et périssables dans le temps, les Hommes n’ont cependant jamais tous les mêmes besoins, ni les mêmes facultés, ni les mêmes désirs, encore moins tous en même temps. Là seule peut être la vraie science.

Soylent

Soleil Vert, cette société où les hommes se nourrissent d’hommes.

écot logique ?

Ainsi, en réaction à cette idéologie de science politique de l’économie, la critique ne remet pas en cause la politique en tant que science, mais l’économie qu’il faudrait remplacer par l’écologie. Nous entrerions alors dans une nouvelle aire de science politique écologique, comme nouvelle offre à une demande unique que les Hommes tous en cœur exprimeraient tous ensemble d’une seule voix : l’écologie est notre salut, sur la Terre comme au ciel ! La science se fait magique.

Mais comment donc allons-nous bien pouvoir faire pour que tout le monde pioche cette nouvelle offre ? Allons-nous être contraints de fabriquer et ingurgiter des pilules vertes, un soleil vert, pour notre salut et celui de la planète ?

Qui peut vraiment répondre à la demande de chacun des 7 milliards d’individus qui peuplent la planète, tout en prenant soin de la planète et de ses habitants, humains ou pas ?

Personne, telle est la réalité. Personne ne peut à lui tout seul répondre à la demande de tous unanimement, quel que soit le nombre d’individus. Personne ne peut jamais répondre qu’à la demande d’un seul autre à la fois, jamais de tous ensemble. Personne, sauf les prétentieux protocolaires qui ne font pas la distinction entre un individu et un échantillon d’un très grand nombre de cobayes. Sauf à donner la même pitance à chaque bête de son cheptel d’hommes.

L’individu est le centre de la demande, lui seul la détient, personne d’autre que lui-même. Elle varie donc selon la réalité de chacun. L’offre qui peut lui être faite, pour répondre à une demande réelle, est personnalisée et personnalisable dans le temps, à chaque cas. L’offre n’est pas une obligation. Si la demande ne tient pas elle aussi compte de la réalité, elle ne trouve pas de réponse. Autrement dit, ni la demande, ni l’offre ne peuvent être satisfaites en dehors de la réalité. C’est la réalité qui détermine l’action et les résultats ajustables, pas autre chose que la réalité.

L’Homme n’est qu’individu

Tel est le fondement, le principe fondamental de l’économie, qui ne se caractérise pas du tout comme un principe strictement anthropocentré, mais comme un principe ancré dans la réalité, bien plus vaste que l’Homme lui-même.

Comme le dit si bien Marius-Joseph Marchetti (dont vous trouverez un excellent article ici), la question n’est pas de « savoir ce que je veux. » La question c’est « Quels moyens les Hommes sont prêts à mettre en place pour atteindre leur fin ? »

C’est le fonctionnement même de la nature toute entière qui a pour principe fondamental réel d’échanger librement, selon des critères complexes déterminés qui la transforme, dès lors où la nature est vivante, donc mouvante, sélective et mutante. Et l’Homme n’est rien de plus qu’un être naturellement Libre parmi les Libres.

libre

L’eau, symbole de notre lien à la nature.

« Tous les ennuis que nous vaut la vie moderne sont dus à ce qu’il y a divorce entre la nature et nous » — Isaac Asimov

La science politique qui nous est saupoudrée, déconnecte les êtres humains de cette nature fondamentale qui les anime. Elle engendre des querelles, jusqu’à des guerres. Ce sont en réalité des guerres politiques contre la nature, qui ne concernent jamais qu’une poignée d’Hommes gavés par trop de pouvoir, qui attrapent le melon en guise d’esprit et déforment la réalité, croyant pouvoir la transformer selon leurs lubies.

écot système

Ces querelles et ces guerres incessantes sont destructrices, elles causent des pertes évidentes, pourrissent la vie des habitants de notre planète (quasiment toutes les espèces en pâtissent), même si finalement la nature se rebelle et nous rappelle toujours à l’ordre. La nature elle-même est violente et dévorante. Les autres espèces se défendent contre cette nature violente qui peut les dévorer ou pas, mais elles n’attaquent pas la nature. C’est ce que les scientifiques appellent l’écosystème (terme apparu en 1935 sous la plume du botaniste Arthur George Tansley).

Il est assez étonnant de constater que « l’Homme politique » ne se définit pas dans l’écosystème, comme s’il ne faisait pas partie de ce monde, de cet univers. Hier comme aujourd’hui, l’Homme politique n’évolue pas, il est bien entendu au-dessus, au mieux représentant de dieu, au pire dieu lui-même réincarné !

Perpétuellement hors d’elle, l’Homme politique prétend domestiquer la nature, promettant aux autres s’ils s’inclinent, s’ils les sacralisent (ou les élisent, c’est pareil) comme il faut, de les protéger pour obtenir la clémence et l’abondance de Dame Nature, soit en substituant la supposée violence de la nature par des lois sur-naturelles, auxquelles même les plus géniaux d’entre nous doivent se soumettre.

Souvenez-vous de tous les génies maltraités, salis, torturés et tués par les hommes politique du moment. Ces crimes sont une constante de la longue histoire des étatistes et pour mémoire, voici quelques exemples :

  • Alan Turing (1912 – 1954) – Il décrypta les messages d’Enigma, la machine de chiffrement nazie et fut un précurseur de l’informatique et de l’intelligence artificielle. En raison de son orientation homosexuelle, il fut condamné et pour échapper à la prison, il fut contraint à la castration chimique. Il s’est suicidé en croquant dans une pomme empoisonnée au cyanure. RIP Grand Homme.
  • Albert Einstein (1879-1955) – Auteur de la théorie de la relativité et prix Nobel de physique en 1921, ses biens furent saisis par les nazis, ses livres brûlés en place publique, parce qu’il était pacifiste et juif. Il a dû fuir aux USA. RIP Grand Homme.
  • Galilée (1564 -1642) – Il soutint la théorie de Copernic selon laquelle la Terre gravite autour du soleil. L’église catholique soutenait quant à elle, que la Terre était le centre de l’univers et contraignit Galilée à retirer son propos, puis l’assignat à résidence jusqu’à la fin de sa vie et brûla ses écrits. RIP Grand Homme.
  • Giordano Bruno (1548-1600) – Sur la base des travaux de Nicolas Copernic et de Nicolas de Cuers, il développa la philosophie de l’infinitude de l’univers. L’inquisition romaine le jugea comme hérétique, lui infligeant un procès pendant 8 ans, à l’issue duquel il fut finalement brûlé vif en place publique. RIP Grand Homme.

Combien d’Hommes géniaux inconnus et oubliés parmi les victimes ? Une seule victime, c’est de toute façon, une de trop.

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Cent ans après la « Grande Guerre », encore une ?

Fausse science politique

Cependant et pour l’heure, la vie continue. Ce n’est sûrement pas grâce aux hommes politique, qui l’entravent, mais bien grâce aux écosystèmes qui s’autorégulent spontanément, exactement comme le décrivent les vrais scientifiques de l’économie réelle, selon le principe du libre-échange. Si aujourd’hui la science économique est contestée en tant que science, ce n’est pas parce que l’économie n’est pas une vraie discipline scientifique, mais bien parce que sa version politique ne l’est pas, ni la politique elle-même.

Les hommes politique nous offrent religieusement des guerres, alors que ce n’est pas la guerre qu’il faut faire pour avoir de meilleurs hommes politique à la tête des états. Puisque la réalité nous répète qu’à chaque guerre, de nouveaux états se forment, sans atteindre le résultat recherché, faisant naître d’autres guerres.

C’est un changement de paradigme radical que nous avons à opérer pacifiquement. Sortons de l’idéologie religieuse étatiste une bonne fois pour toutes, définitivement et conceptualisons nos sociétés librement, par la pratique du véritable libre-échange pour maintenir la paix.

Bingo, Richard Codben avait bien vu juste et il serait bien temps maintenant de laisser disparaître tous les super états et toutes leurs gigantesques armées de soldats politique à la solde de l’idéologie politique.

Paix du libre échange

Mon métier, c’est justement de faire des échanges, dans une logique de libre-échange, tranquillement.

Pour exercer, je n’ai ni besoin d’état comme fournisseur de quoique ce soit, ni comme client de mes services. Je ne demande rien à l’état et n’ai rien à lui offrir. Je n’échange qu’avec d’autres personnes, libres d’échanger avec moi, si et seulement si, elles et moi y consentons librement et nous accordons.

Le libre-échange, c’est l’harmonie des accords que les humains s’accordent entre eux, le plus magnifique concert de l’humanité de tous les temps. Il n’est interrompu que par la politique qui s’emploie à l’interdire, brûler les instruments, poser des mines pour mutiler des innocents. La musique humaine ondule et vibre quand même, par les échanges entre braves gens.

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Libertarien. Cette vision radicale où les autres ne sont pas votre propriété.

J’exerce des fonctions commerciales depuis une trentaine d’années. J’ai commencé comme acheteuse pour un groupe dédié à la distribution de produits alimentaires et non-alimentaires à destination des professionnels de la restauration hors foyer. J’ai ensuite rejoint un autre groupe de distribution en tant que Chef de produits marketing non alimentaire.

Puis, j’ai pris la direction d’un réseau de magasins appartenant à un groupe industriel de fabrication de matériel de Grande Cuisine. J’ai ensuite créé mon propre magasin, avant de développer une activité en tant que consultante en marketing-vente, où j’ai aussi délivré des cessions de formations pour des clients d’organismes de formation et pour des entreprises.

Après quoi, j’ai rejoint une entreprise spécialisée dans les services de maintenance curative multi-technique auprès de réseaux succursalistes professionnels, en tant que responsable du pôle commercial grands-comptes.

J’apporte aujourd’hui des services auprès de plus d’une centaine de clients, sur des secteurs d’activités aussi variés que les réseaux de retailers, les banques, les compagnies d’assurances, les gestionnaires d’actifs immobilier, des réseaux de dialyse, des réseaux médicaux privés, résidences seniors privées médicalisés, réseaux d’agences d’intérim…

Chacune de ces expériences m’a éclairée !

Autant en raison des échecs que des réussites, car dans chaque cas, j’ai toujours eu pour volonté d’apprendre à faire et à transmettre toujours et encore des biens matériels et immatériels avec d’autres êtres humains, pour défendre le libre-échange et avoir la paix !

Avoir la paix !

Beaucoup d’individus souhaitent avoir la paix et ne savent pas comment faire.

Ce n’est en effet pas facile de mener des actions de libre-échange paisibles, communément appelées actions commerciales. D’autant plus que certains individus ne sont pas eux-mêmes en paix et n’ont aucune volonté à l’être. D’autant plus que les écoles ne nous l’enseignent pas, pas même les grandes écoles.

J’ai pourtant appris à le faire, maintenant je sais le faire correctement et mon objectif à présent, en plus de continuer à le faire, est aussi de me préparer non pas une retraite, mais mon retrait de l’état, et transmettre les fondamentaux qui permettent de pratiquer sereinement le libre-échange pour avoir la paix et que la musique du monde continue !

Outre les fondamentaux du marketing et de la vente, ponctués d’expériences pratiques, je transmets aussi la joie que procure l’exercice du libre-échange en réalité, en sachant comment faire pour abattre les barbelés qui s’élèvent contre la paix.

Vous doutez ? Vous avez des problèmes pour acheter et vendre correctement ? Vous avez des difficultés pour vous entourer de bons commerciaux ? Votre offre répond-elle à la demande ? Vous n’êtes pas sûr du potentiel de vos prospects et clients ? Vous ne savez pas bien qui vous achète quoi, ni quoi vendre à qui ?

C’est normal de douter. Ce qui est anormal, c’est de se crisper dans une posture de croyance impossible à réaliser, de stagner et rester ainsi guindé de fausses certitudes, sans s’offrir d’autres horizons pourtant accessibles.

Alors, allons-y, vérifions ensemble les points de blocages à la pratique du libre-échange et détendez-vous pour pouvoir recommencer à échanger librement avec d’autres êtres humains, sans pour autant n’agresser ni les personnes, ni son propre environnement !

Je peux vous accompagner pour aller chercher avec vous dans les gisements, à la source du développement d’accords réels sereinement.

Si vous voulez des exemples d’accords passés, je dispose de références privées, qui peuvent vous en parler et vous pouvez tester mes services à la demande.

N’hésitez pas à me solliciter, je me fais toujours un plaisir de répondre et d’échanger !

 

Artid